Des études qui ont été scandaleusement occultées car elle préconisaient la pêche de quelques requins pour sauver des vies
Des études qui prouvent clairement que la pêche préventive fonctionne sur la base du modèle déployé avec succès en Australie depuis 1936 et en Afrique du Sud depuis 1959.
Des études jamais mises en ligne et jamais ou ne serait-ce que citées par les biologistes réunionnais…
Une étude qui aurait sauvé des vies si elle avait été prise en compte, tout comme celle de l’IFREMER de 1997 http://etude-risques-requin-
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Etude de Saint-Pau sur la réduction du risque requin 1997 "Roos et al-Ifremer-Risque requins » "
Une étude qui a été scandaleusement occultées car elle préconisaient la pêche de quelques requins pour sauver des vies
Une étude qui prouve clairement que la pêche préventive fonctionne sur la base du modèle déployé avec succès en Australie depuis 1936 et en Afrique du Sud depuis 1959
Une étude jamais mise en ligne et jamais ou ne serait-ce que citées par les biologistes réunionnais…
Une étude qui aurait sauvé des vies si elle avait été prise en compte au début de la crise requin en 2011, tout comme celle de Saint-Pierre en 2007 : il a fallu 5 morts et 3 mutilés avant que l’État commence à pêcher en 2014…
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Etude de Saint-Paul sur la réduction du risque requin 1997 "Roos et al-Ifremer" |
Une étude préalable la constitution de la réserve marine de l’île de la Réunion qui prouve qu’une réserve marine conduit prioritairement à de larges bénéfices pour les prédateurs et à un phénomène de désinhibition vis-à-vis de l’humain : « l’homme n’intervenant plus en tant que prédateur sur le milieu, il n’est plus perçu comme une menace » ce qui veut dire que si on supprime les activités humaines de pêche, les prédateurs n’ont plus peur de l’humain avec des risques d’interactions… exactement ce qui s’est passé dès 2011, de la réunion avec les prédateurs requins. Voir à 6’15" ici mon analyse : https://www.youtube.com/watch?
Cette étude qui constitue une revue bibliographique majeure sur "l’effet réserve » a été totalement occulté par les biologistes réunionnais tout au long de la crise requin, car elle pointe du doigt directement leur propre responsabilité d’avoir mis une réserve marine au cœur d’une zone balnéaire, sans avoir tenu compte des risques vis-à-vis des prédateurs désinhibés !