Titre du site

Requins à La Réunion

-une tragédie moderne-

Facebook censure ton steak... avant les fusillades ?

Vous imaginez ? La vidéo d'un barbecue (certes copieux) se retrouve censurée par Facebook

Car les pleureuses du monde animal ne supportent plus la vue d'un ... morceau de viande... qui suscite plus d'émotions et d'empathie désormais que la vue d'enfants rachitiques du Yémen !

Le pire c'est que ce genre de considération est en train de devenir la norme, tout comme les réjouissances décomplexées dans les commentaires lorsqu'un humain est tué par un animal , et qui elles sont tolérées sur Facebook (et ailleurs) !

 Sans parler de ceux qui osent appeler depuis peu au boycott du téléthon sous prétexte que la recherche nécessite une expérimentation sur les animaux... c'est sûr qu'ils n'ont pas d'enfants ou de proches atteints par la maladie, et quand bien même, c'est devenu tellement sexy de placer l'animal avant l'humain...

 

QUI EST RESPONSABLE DE CES DÉRIVES ANTI-HUMANISTES ???

L’origine de cette mouvance coïncide avec l'émergence d'une catégorie d'ONG dont la seule raison d'être est de refuser la consommation ou l'utilisation des animaux, sous quelque forme que ce soit en ciblant particulièrement l'élevage, la chasse ou encore la pêche.

Ces organisations diffusent désormais leurs campagnes de com dans le monde entier par le biais d'informations souvent biaisés, conduisant une mobilisation massive d'adeptes désinformés sur les réseaux sociaux. Et ensuite, tels des vautours, les célébrités et les politiciens se disputent cette popularité, et surtout leurs votes.

Les mensonges et les exagérations sur fond de "bien-être animal" génèrent 600 millions de dollars de donations (déductibles d'impôt) par an dans le monde.

La majorité de ces dons finit en salaire pour des dizaines de milliers de personnes qui en vivent grassement. Il est fondamental à ce titre pour eux de maintenir la perception d'une "crise permanente", à base d'images sanglantes, des slogans chocs, des publicités chargées d'émotions, etc. Ces campagnes de sensibilisation et de promotion constante sont fondées sur les règles de communications sophistiquées, dirigées par des experts en gestion et en collecte de fonds, et non en protection de la nature. Non, ce ne sont pas des professionnels de la conservation mais bien de la désinformation, hermétiques au bon sens et aux données du terrain, capable si besoin de déformer la science, lorsqu'ils n'arrivent pas à l'acheter. Ils sont totalement insensibles aux situations dramatiques qu'ils engendrent, et vont même jusqu'à alimenter la misanthropie à l'encontre des communautés humaines impactées.

Les moutons donateurs, eux, sont invités à considérer les militants-influenceurs comme des idoles, des gourous des prophètes... alors qu'il s'agit bien souvent de lobbyistes patentés.

Il y a 20 ans, ces profiteurs constituaient une minorité à laquelle on pouvait échapper. Mais avec l'avènement des réseaux sociaux qu'il maîtrisent et utilisent depuis ses balbutiements, ce type d'activisme est devenu un problème majeur.

La moindre réfutation de assertions est violemment attaquée, car il ne supporte pas le moindre réajustement moral, pouvant compromettre leurs activités florissantes.

Leurs objectifs sont les polémiques et la polarisation, et en aucun cas un dialogue constructif, basé sur la tolérance, orienté vers des solutions.