Le représentant des associations environnementales s'obstine a répété en boucle les mêmes arguments FALLACIEUX pour tenter de décrédibiliser la pêche d'une part, et de faire croire que le seul intérêt dans toute cette histoire serait de s'enrichir.
c'est un schéma qui fonctionne car correspond à ce que les gens ont envie d'entendre : "appât=stimulus=attaque"
Voir ici l'intervention du représentant des associations écologiques après un drame survenu le 14 février 2015 : http://www.ipreunion.com/requins/reportage/2015/02/20/jean-bernard-galves-met-en-cause-la-presence-d-une-drumline-a-l-tang-sale-on-a-appate-tout-pres-du-lieu-de-l-attaque-pendant-plusieurs-mois,29463.html
On retrouve le même schéma est le même argument après le dernier accident grave survenu le 27 août 2016, écouter l'interview à la fin de ce lien : http://www.freedom.fr/risque-requins-communique-de-thierry-robert-sensibilisation-prelevement-et-redefinition-du-perimetre-de-la-reserve-marine/
Ou encore à la télé le lendemain de cette attaque survenue le samedi 27 août 2016 :
Pourtant il ne s'agit là que d'une mauvaise foi ahurissante mais défendue avec tellement de bonhommie et dans un climat d'opprobre anti-surfeur exacerbé, qu'il finit par susciter des interrogations, mêmes chez des personnes raisonnées.
Quelques point pour rétablir la vérité :
- le milieu marin à lui seul constitue un océan de stimulation : c'est en permanence des milliers de poissons (éléments constitutifs des appâts) qui se mangent entrent dans le cadre des chaînes alimentaires
- les pratiques de pêche traditionnelle génèrent autour de l'île plusieurs centaines de fois plus d'appât et cela depuis des décennies sans jamais avoir posé de problème de cet envergure
- pour qu'un appât, soit attractif il faut qu'il y ait une effluve grasse ou du sang avec un écoulement permanent (suffissament longtemps pour que le squale remonte le couloir odoriférant) ce qui est impossible avec un simple morceau de poisson utilisé par les drum lines.
-Ce carré n'attirent que les requins proches (quelques dizaines de mètres) c'est à dire potentiellement dangeureux (la drum line est placée devant la zone à protéger)
- les requins sont prioritairement attirés par les vibrations, qui portent sur plusieurs kilomètres, contrairement à ce type d'appât qui n'a une attractivité que sur quelques dizaines de mètres c'est-à-dire sur les requins justement potentiellement dangereux s'approchant trop pris de la cote.
- il n'y a eu AUCUNE ACTION DE PECHE (type palangres ou drum lines) dans la zone de boucan dans la période qui a précédé l'attaque comme l'a confirmé le directeur de cabinet de la préfecture lundi matin sur réunion première (émission du 29 aout 2016, à 7mn 20s http://la1ere.francetvinfo.fr/…/em…/l-invitee-de-la-matinale )
-Il y a eu plus de 15 attaques avant la pose d'une premiere drum line devant l'Etang de St Paul
- elle sont appâtées que le soir et hors week end (à cause du fantasme autour de leur dangerosité, contrairement à l'Australie et Afrique du Sud ou c'est 24h/24h)
Ce sont ces affirmations mensongères qui AU CONTRAIRE ont freinés le déploiement des drum lines :
- proposé par l’étude de l’IFREMER en 1997 (enterré)
- proposé par l’étude de Saint-Pierre en 2007 (enterré)
- suggérée dès juin 2011 par OPR (JF Nativel) (lettre au préfet) suite un premier mort (Aubert)
- projet février 2013 porté par PRR et comité des pêche suite à deux morts supplémentaires (Shiller, Rassiga)
- début expérimental février 2014 (à 8km des 1eres plages ! car 1 an d'oppositions) suite à deux autres morts supplémentaires (Berhamel, Rophert)
- début expérimental (timide) sur la zone récifale de Saint-Gilles août 2014
- déploiement sur trois bassins, St Pierre, Etang Salé et S Leu à partir d’aout 2015 suite à deux morts supplémentaires (Bishop, Canestri)
- mai 2016, tentatives de déploiement sur la zone de Boucan Canot stoppé par une action en justice victorieuse du collectif d'associations dites environnementales : une attaque grave survient dans les filets le 27 août 2016,3 mois après.
Toutes ces années perdues à cause d'AFFABULATIONS autour d'une "dangerosité" construite de toute pièces.
Toutes ces années perdues à cause du mutisme des autorités, du manque de courage politique et surtout du lobby des associations dites environnementales…
Nous somme en temps de compléter le dossier de l’ensemble de leurs actions en justice depuis 2011, plus d’une dizaine dont la dernière, qui a conduit à arrêter le projet de pêche à boucan canot vient couronner leurs responsabilités dans ce dossier.
Et tout cela sans tenir compte de leurs innombrables pétitions, article calomnieux, diffamants et autres lettres aux autorités diverses conseil régional, préfet, président de la république etc.
Alors c’est qui les responsables ?
Les associations de préventions qui collaborent avec les autorités et les collectivités pour tenter de mettre en place des solutions, en répondant à l’obligation de moyens et en se pliant à toutes les exigences, notamment écologiques, mêmes les plus farfelues ou infondées ?
Ou ceux qui ne font critiquer sans RIEN avoir proposés, à part des actions en justice pour entraver coûte que coûte le principe d’une sécurisation par la pêche ?
